D’après ‘Orwa, ‘Aïcha égara un collier qu’elle avait emprunté à Asma. L’Envoyé de Dieu envoya un homme pour le chercher et finit par le trouver. Entre-temps, l’heure de la prière était arrivée, on s’aperçut qu’il n’y avait pas d’eau pour procéder aux ablutions. On pria quand même, mais on se plaignit de cela auprès de l’Envoyé de Dieu. C’est alors que Dieu révéla le verset concernant l’ablution sans eau (le tayamoum). S’adressant à ‘Aïcha, Osaïd Ben Hodaïr lui dit : « Que Dieu te récompense ! Par Dieu, aucune action désagréable ne t’est arrivée sans que Dieu n’y destine quelque bienfait pour toi et pour les Musulmans. »
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