Djâbir Ben ‘Abdallah a dit : « Quand mon père fut tué, j’étais en pleurs et je voulus découvrir son visage. Les fidèles tentèrent de m’en empêcher mais le Prophète ne s’y opposa pas. Puis ma tante Fatima s’étant mise à pleurer, elle aussi, il lui dit :- Que tu pleures ou non, les anges continueront à le préserver avec leurs ailes jusqu’à ce que vous l’ayez enterré. »
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