Quand le fidèle n’a pu se rendre (au mossala) à la prière de la fête, il devra prier deux reka’as ; pareillement pour les femmes ou ceux qui sont dans les tentes ou les agglomérations et ceci relativement aux paroles du Prophète qui a dit : « Ceci est notre fête, ô gens de l’Islam ! »
Anas Ben Malik ordonna à son esclave affranchi Ibn Abou ‘Otba, qui était à Zaouia, de faire avec ses femmes et ses enfants la même prière et le même tekbir que les habitants de la ville.
Ikrima a dit : « Les habitants de Souad se rassemblaient le jour de la fête et effectuaient deux reka’as ainsi que le faisait l’imam. »
‘Ata disait que lorsqu’il s’abstenait à la prière de la fête, il effectuait deux reka’as.