Quand durant sa prière Ibn ‘Omar apercevait des tâches de sang sur son vêtement, il enlevait le vêtement et terminait sa prière.
Ibn Mossaïb et Cha’abi ont dit : « Quand un homme aperçoit sur son vêtement des traces de sang ou de sperme, alors qu’il est en station de prière ou qu’il prenne conscience qu’il n’est pas tourné vers la Qibla, ou encore qu’il a effectué l’ablution sans eau (le tayamoum) et qu’il découvre de l’eau par la suite, cet homme n’est pas tenu de refaire la prière. »