Selon ‘Othman Ben Abou Raouda, Zohri a dit : « J’entrai chez Anas Ben Malik, pendant qu’il se trouvait à Damas et le trouvai en pleurs. Je lui dis : – Qu’est-ce qui te fait pleurer ? – Je vois qu’il ne subsiste plus rien des pratiques d’autrefois, se lamenta-t-il, hormis la prière, qui est elle-même délaissée. »
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