El Hassan a dit : « Il n’y a pas d’objection à ce que l’imam qui dirige la prière et le fidèle soient séparés par un cours d’eau. »
Abou Midjlaz a dit : « Il n’y a pas d’inconvénient à suivre la prière de l’imam lorsqu’on est séparé par un mur ou une route, et cela dans la mesure où le tekbir est perceptible. »