Ibn ‘Abbas a dit : « Auparavant le bien revenait à l’enfant et on devait tester en faveur des père et mère. Puis Dieu abrogea ce qu’Il lui plut de ces pratiques. Il attribua au mâle une part équivalente à celle de deux femmes ; au père et à la mère, un sixième chacun ; à la veuve un huitième et le quart ; au veuf la moitié et le quart. »
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