Djâbir Ben ‘Abdallah a dit : « Le Prophète me chargea d’une course que j’accomplis selon ses désirs. A mon retour je le saluai, mais il ne me rendit pas le salut. Cela me fit une grande peine que Seul Dieu est en mesure d’estimer. Je pensai en moi-même que l’Envoyé de Dieu avait un ressentiment à mon égard pour m’être absenté trop longtemps. Je le saluai donc une seconde fois ; il ne répondit pas à mon salut, ce qui me chagrina plus que la première fois. Je le saluai de nouveau une troisième fois et alors il me rendit le salut en disant : – Ce qui m’a empêché de te rendre le salut, c’est que j’étais en train d’accomplir la prière. » Le Prophète était sur sa monture et son visage n’était pas dirigé du côté de la Qibla. »

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