Selon El Hakem, Abou Djohaïfa a dit : « L’Envoyé de Dieu s’en alla à la mi-journée et procéda à ses ablutions dans le lit d’un cours d’eau, puis il accomplit deux reka’as pour la prière du dohr et deux reka’as par la prière de ‘assar. Devant lui, il y avait un bâton (fiché par terre) (derrière lequel les gens passaient, dit un autre commentateur). Les gens se saisirent des mains du Prophète et les portèrent sur leur visage. J’en fis de même et je m’aperçus que sa main était plus froide que la neige et plus odorante que le musc. »
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