Abou Salama a dit : « Alors que j’interrogeais Abou Sa’id El Khodry, il me répondit : – Un jour, la pluie se mit à tomber si violemment qu’elle traversa le toit de la mosquée qui était constitué de branches de palmier. Après le deuxième appel à la prière (iqama), l’Envoyé de Dieu se prosterna dans la boue qui s’était formée et aussi dans l’eau qui s’écoulait et j’aperçus que son front était maculé de boue. »
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