Selon Chaqiq, ‘Abdallah Ben Mess’aoud a dit : « C’est comme si je vois encore le Prophète de Dieu, rapporter qu’un Prophète, parmi les Elus de Dieu, fut frappé par (les gens de) sa communauté. Le sang coulait de son visage et il s’essuyait en disant : – Ô mon Dieu, pardonne à mon peuple, c’est un peuple qui ne sait pas. »
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