Selon ‘Omar, il n’y a pas d’inconvénient à ce que l’administrateur d’un ouaqf se nourrisse de ce que rapporte ce bien.
Le fondateur ou toute autre personne peut administrer un ouaqf.
La personne qui a dédié à Dieu une victime ou autre bien peut en faire usage au même titre qu’une tierce personne, même si cela n’est pas stipulé expressément.
Lorsqu’un homme dit : « Je fais don de ma maison à Dieu », sans nommer les nécessiteux ou autres bénéficiaires, cela est convenable et il peut en faire don à ses proches ou à d’autres.
C’est ainsi que s’exprima le Prophète, quand Abou Talha lui dit : « Le bien qui me tient le plus à cœur est Baïroha, et je le donne en aumône à Dieu. »