Anas a dit : « Le Prophète était le plus beau, le plus courageux et le plus généreux des hommes. Les médinois furent pris d’épouvante (à l’annonce de l’ennemi) ; alors, le Prophète les devança à cheval (pour affronter les agresseurs). »
Djobaïr Ben Mot’im rapporte qu’étant de retour de Honaïn en compagnie du Prophète et de nombreux Musulmans, ceux-ci firent des demandes insistantes au Prophète et le pressèrent tellement, que son manteau s’accrocha aux épines d’un acacia. Il s’arrêta alors et dit : « Rendez-moi mon manteau. Si je possédais des bestiaux aussi nombreux que ces arbres, je vous les aurais distribués. Vous ne me verrez jamais ni avare, ni menteur, ni lâche. »