El Hassan a dit : « Lors des cérémonies funéraires du jeune enfant, celui qui dirige l’office récite la Fatiha puis invoque Dieu ainsi : – Ô mon Dieu ! Fais qu’il entre au Paradis avant nous, qu’il nous réserve notre place et que par lui, nous obtenions notre récompense. »
Talha Ben ‘Abdallah a dit : « J’exécutais la prière des morts derrière Ibn ‘Abbas qui récita la Fatiha. Puis il ajouta : – Je le dis afin que vous n’ignoriez pas qu’il s’agit d’une pratique religieuse consacrée. »