Selon Nafi’e, qui cite Ibn Ka’b Ben Malik, le père de celui-ci possédait un troupeau de moutons qui pâturaient à Sal : « Une bergère, dit-il, vit un mouton qui était sur le point de mourir. Immédiatement, elle s’en alla détacher un morceau de roche avec lequel elle égorgea l’animal. – Ne consommez pas la chair de ce mouton, leur lançai-je avant que je ne m’informe (ou que j’envoie quelqu’un s’informer) auprès de l’Envoyé de Dieu, sur ce qu’il y a lieu de faire.
Lorsque je demandai (ou fait demander) l’avis de l’Envoyé de Dieu, celui-ci autorisa la consommation de la viande en question. »