Selon ‘Orwa Ben Zoubaïr, du temps de Walid Ben ‘Abd El Malik, le mur de la chambre (de ‘Aïcha) s’effondra et on décida de le rebâtir. Pendant les travaux on découvrit le pied d’un être humain et les ouvriers furent affolés à l’idée de penser que ses ossements pouvaient appartenir au Prophète et, il n’y avait personne pour les informer. Cela dura jusqu’à ce que ‘Orwa les rassure en leur disant : « Par Dieu, ce n’est pas le pied du Prophète, c’est celui de ‘Omar. »

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