De ces Paroles de Dieu : « Rendez leurs biens aux orphelins. Ne substituez pas ce qu’ils possèdent de bon à ce que vous possédez de mauvais. Ne substituez pas leurs biens en les confondant avec les vôtres. Ce serait là un méfait odieux. » (Coran 4.2)

De ces Paroles de Dieu : « Eprouvez les orphelins, jusqu’à ce qu’ils aient atteint l’âge de se marier. S’ils donnent des signes de capacité, confiez- leur la gestion de leurs biens. Ne vous hâtez pas de les dilapider avant qu’ils ne deviennent majeurs. Si le tuteur est riche, il doit s’abstenir de prélever quoi que ce soit sur la fortune de ses pupilles ; s’il est pauvre, il ne peut en disposer que modérément. Lorsque vous leur rendez leurs biens, assurez-vous la présence de témoins, mais Dieu suffit pour tenir compte de tout. Il revient aux hommes une part sur ce que laissent leurs parents ou leurs proches. De même, il revient aux femmes une part sur ce que laissent leurs parents ou leurs proches. Que les biens laissés soient importants ou non, une part leur est assignée. Lorsque des proches, des orphelins ou des pauvres assistent au partage, donnez-leur quelque chose et tenez-leur un langage aimable. » (Coran 4.6 à 8)

Selon Ibn ‘Omar, du temps de l’Envoyé de Dieu, ‘Omar donna en aumône une palmeraie qu’il possédait et qu’on nommait Thamgh : « Ô Envoyé de Dieu, dit ‘Omar en s’adressant au Prophète, je possède un bien qui m’est très cher et je voudrais le donner en aumône. – Donne en aumône son fonds, répondit le Prophète afin qu’on ne puisse ni le vendre, ni le donner, ni en hériter, mais on distribuera le rapport.

‘Omar donna donc en aumône ce bien dont les rapports servirent à la guerre sainte, à payer la rançon des prisonniers, aux nécessiteux, aux hôtes, aux voyageurs et aux proches. L’administrateur pouvait user avec modération pour ce qui lui était nécessaire et il lui était permis de faire manger un de ses amis non prévu parmi les bénéficiaires. »

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