El Hassan a dit : « Il est permis que trente hommes jeûnent chacun un jour pour le compte du disparu. »
Selon ‘Aïcha, l’Envoyé de Dieu a dit : « Il appartient au ouali du défunt d’accomplir les jours de jeûne, qui n’avaient pas été acquittés par ce dernier à sa mort. »
Ibn ‘Abbas a dit : « Un homme vint vers le Prophète et s’adressa à lui : – Ô Envoyé de Dieu, lui dit-il, ma mère est décédée alors qu’elle devait un mois de jeûne, dois-je jeûner pour son compte ? – Oui, répondit le Prophète, les dettes vis-à-vis de Dieu, sont celles qui doivent être acquittées avec le plus de rigueur. »