Abou Horaïra a dit : « L’Envoyé de Dieu me vit un jour alors que j’étais en état d’impureté (à la suite de relations charnelles). Il me prit la main et je marchai avec lui jusqu’à un endroit où il s’assit. Aussitôt, je m’enfuis pour rentrer chez moi ou je me purifiai. Puis je revins vers lui, alors qu’il était toujours assis. – Où étais-tu donc, ô Abou Horaïra ? me demanda-t-il. Je répondis à sa question et il s’exclama : – Gloire à Dieu, ô Abou Horaïra, tu dois savoir que le contact d’un Musulman ne souille jamais. »
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