L’enfant d’une prostituée, le nomade et le jeune impubère sont autorisés à diriger la prière des fidèles conformément à ces paroles du Prophète : « Celui qui a le plus de connaissance dans le Coran, présidera la prière. » On ne peut empêcher l’esclave d’assister à la prière en commun sauf pour une raison impérieuse.
‘Abdallah Ben ‘Omar a dit : « Lorsque les premiers mouhadjirines arrivèrent à ‘Osba, à proximité de Qoba, ce fut Salim, esclave affranchi de Abou Hodaïfa qui présida leur prière, en raison de ses plus grandes connaissances du Coran. »